La femme est l’avenir de l’homme. Et si c’était vrai ?

#L’ÉGLISE, c’est l’être CHER, celle que l’on aime plus que tout, qui, un jour, a posé son regard sur nous en se disant : « C’est LUI que je choisis ! »
#Le VILLAGE, c’est la famille qui s’est construite avec ce tandem, ce sont les enfants que l’on doit protéger et faire grandir pour qu’ils puissent quitter le nid avec sérénité.

POURQUOI la FEMME est l’avenir de l’homme ?
Et si remettre l’église au milieu du village était la CLÉ ?

Alors oui, pour affronter les pires problèmes de la vie, il vaut mieux être DEUX. Mais être DEUX signifie une complicité, un respect mutuel, un partage d’émotions. Mais surtout, être DEUX signifie pouvoir compter sur l’autre, en étant convaincu que la réciproque est vraie.

#Alors, au risque de ne répéter que des vérités, il y a, derrière un grand homme, une GRANDE FEMME. Souvent dans l’ombre, elle défend le nid, protège ses oiseaux et permet à son homme de déployer ses ailes.

Mais contrairement aux idées reçues, sa tâche à la maison est GRANDE, puisqu’elle cumule bien souvent deux journées en une : la vie de la maison et la vie professionnelle. L’envergure de ses ailes n’en est que plus grande. Et même si son implication est centrée sur le foyer, il n’en demeure pas moins qu’éduquer les enfants, les sécuriser, leur montrer le chemin et entretenir un cocon est une tâche 24h/24, tout aussi difficile et énergivore que de gravir les échelons hiérarchiques.

Alors souvent, je m’interroge sur la tendance militante qui revendique l’égalité des hommes et des femmes. Je pense que les hommes, les vrais, n’ont pas besoin de ce genre de revendication pour prouver à leur compagne qu’ils sont là pour AIMER, PROTÉGER, ACCOMPAGNER l’autre sans aucune retenue.

L’homme doit, pour autant, tenir son rang et être capable d’aller au charbon pour sécuriser sa tribu et sa compagne. Un regard, un geste, des mots suffisent à montrer le respect et la complicité qui existent entre eux.

Un homme, un vrai, ne se valide pas à coups de tatouages, mais par des actes simples qui consistent à assumer des responsabilités, à concevoir l’effort et la souffrance physique comme normales, et à se sacrifier pour l’autre ou sa tribu.

Mais vouloir tout aplanir, habiller les hommes en femmes, croire que le port de la jupe est vulgaire et aguicheur, voir en chaque homme un porc, etc., sont des raccourcis nuisibles à l’équilibre de la société. Le temps n’est pas encore venu où l’homme porterait la grossesse et allaiterait.

C’est pourquoi je ne crois pas à la vie en solitaire. C’est un refus de la remise en cause et des concessions. Oui, vivre à deux, c’est partager le bon et le moins bon. Les désaccords existent dans un couple, mais il faut dialoguer pour aboutir à des accords. Il est trop facile de refuser les compromis et de rejeter la faute sur les autres : c’est un comportement de fuite ou de lâcheté.

En ayant vécu, il y a quelques mois, la méningite foudroyante de ma fille, se tenir les mains à deux et recouvrir son corps pour l’accompagner dans sa lutte était d’une détresse horrible, mais d’une puissance surnaturelle.

Même si nous n’avons pas tous et toutes les mêmes préférences sexuelles, ce que je respecte, je crois que nous sommes nés – sinon nous ne serions pas de ce monde – pour créer, nous rassembler et protéger.

Je suis stupéfait de voir la société évoluer avec des mots comme « bienveillance » ou « défendons la planète », alors que ces mêmes militants ne veulent plus faire d’enfants, se concentrent sur les codes wifi, veulent aseptiser les émotions et tuer le rêve, et voient en chaque geste d’amour ou de joie une provocation à l’avenir.

Oui, vivre à deux, tenir la main d’une femme qui comprend, supporte et combat dans l’ombre pour son mari ou compagnon, c’est une sensation que je souhaite à tout le monde. Nous sommes 8 milliards sur cette terre, donc il y a forcément un double qui n’attend qu’une chose : partager de l’amour. Il faut juste ne pas avoir peur…

J’ai grandi jusqu’à l’âge de 8 ans chez mes grands-parents, à la ferme, car mes parents étaient partis trouver du travail à Paris. J’avais un sentiment d’abandon et une joie extrême lorsque je les retrouvais trois fois par an. Mais cette épreuve a laissé une cicatrice.

Je ne savais pas dire « je t’aime », car dans ma famille de résistants, les drames avaient scellé un caractère de pierre. En ayant eu mes premiers enfants à 40 ans, il a fallu que mon épouse m’apprenne le mot « je t’aime », et j’ai appris ce que sont les câlins, comme je continue aujourd’hui à trembler lorsque mes chers enfants sont loin de moi.

En ayant voulu toute ma vie chercher des émotions plus folles les unes que les autres, je savais qu’un jour la femme de ma vie me prendrait enfin la main. Alors tout ce que j’ai appris et acquis de mon passé, je lui ai offert pour soigner ses propres cicatrices, pour lutter avec elle contre sa maladie et surtout pour lui offrir le respect et l’amour que nous ne pouvons pas ne pas vivre pour être heureux.

Oui, il faut rendre hommage à cette femme qui nous a choisis, qui a fermé les yeux sur nos excès pour, au final, les canaliser.

Oui, merci à cette femme qui est le phare, qui montre la direction et le cap, qui met les limites et qui sait lâcher prise quand l’ego a besoin de s’exprimer.

Oui, il faut rendre en double l’amour que ces femmes nous donnent, en gardant l’équilibre entre femme, épouse, mère, travailleuse ou chef d’entreprise.

Oui, nous ne pouvons pas combattre toute notre vie si nous ne savons pas pour qui.

Alors, merci à ces femmes de l’ombre, sans qui nous ne pourrions pas briller en tant que père, mari, mais aussi sur le plan professionnel, car elles nous apportent l’équilibre.

Merci, et permettez-nous de vous aimer à la folie jusqu’à la fin de notre vie.

#femme #amour #respect #admiration #vieadeux #yannsimon

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